En 2013, plusieurs personnes ont été arrêtées à Nea Filadelphia, un quartier d'Athènes[1]. Quatre d'entre elles ont été accusées de braquages de banque[2] commis en 2011[3] et 2013[4].
Après un procès en 2014, deux personnes ont été condamnées à 16 ans de prison[5]. Après un autre procès en 2014[6] et un appel en 2016[7], les deux autres ont été condamnées à 9 et 11 ans de prison, respectivement.
Techniques utilisées
Nom | Description | |
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Science forensique | ||
ADN | Les accusations contre plusieurs personnes étaient basées sur une correspondance entre leur ADN, prélevé de force en garde-à-vue, et des traces ADN trouvées sur des « objets mobiles » près des lieux des braquages[3]. | |
Surveillance physique | ||
Cachée | Le jour des arrestations, quand une personne a visité un cybercafé qui était probablement sous surveillance policière, des policiers l'ont reconnue et se sont mis à la suivre[1]. Elle s'est ensuite déplacée à travers les rues d'Athènes pendant quelques heures, rejoignant petit à petit les autres personnes — dont certaines étaient recherchées par la police[8] — et tout le monde a été arrêté. |